Siem Reap

Retour au Cambodge ! Avec un jour de retard puisque Cebu Pacific, la compagnie aérienne, a décalé mon vol de 24 heures (mais bon, moi j'étais contente de rester une journée de plus aux Philippines !).
Arrivée à Siem Reap, au Nord du Cambodge, où je m'étais déjà rendue en mars, après la retraite de dix jours de méditation Vipassana, pour voir l'Angkor Wat et tous les temples environnants.
J'ai logée chez une couchsurfeuse* que j'avais rencontrée à Phnom Penh, fin février. Chez elle se trouvait déjà un couple de couchsurfeurs, un indien et une anglaise, qui m'a appris plusieurs spécialités culinaires indiennes que j'ai hâte d'appliquer en France ! Ensemble, on a aussi suivi un petit stage de massage, c'était chouette et intéressant, et maintenant je sais faire de trucs de pro qui en jettent.

À part ça, j'ai été super feignante, profitant quand même chaque jour de la piscine de la résidence (wouhouu ! Ma couchsurfeuse se souvenait d'ailleurs, qu'à Phnom Penh, j'avais désespérément cherché une piscine publique tellement il faisait chaud), buvant beaucoup de chaï indien, et faisant plusieurs petites balades à vélo. J'ai aussi un peu dessiné, comme vous pouvez voir : c'est pas encore tout à fait ça, mais c'est toujours mieux que ce que j'ai produit aux Philippines (c'est-à-dire : rien).


J'ai aussi appris qu'il fallait se méfier davantage des fourmis que des moustiques, mais que leur morsure/piqûre n'atteint quand même pas celle d'un oursin.
Hum... Donc, ça, c'était mon programme pendant dix jours (au lieu de 4 prévus, au départ).
Ah oui, et j'ai quand même cherché un bénévolat pour occuper les trois semaines suivantes qu'autorise mon visa. Ça n'a pas été de la tarte, mais après une bonne quinzaine de mails envoyés, j'ai enfin reçu une réponse positive "Venez quand vous voulez !" (Je n'ai pas reçu beaucoup de réponses négatives, c'est juste que je n'en ai pas reçu du tout).


Voilà, encore et toujours dire "au-revoir" à des personnes avec lesquelles on a partagé d'aussi bons moments, qu'on ne sait ni où ni quand on reverra, c'est un des rares points négatifs de ce genre de voyage en solo. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles je tenais à faire du bénévolat : me poser dans un endroit et profiter des gens, dans la durée.


*le Couchsurfing -petite note pour rappeler ce que c'est- est un réseau social sur internet, qui met en relations des voyageurs en soif de rencontres et des locaux qui auraient des bons plans à partager et éventuellement un canapé où dormir. 

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